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Lilith, une Gardienne des Ténèbres à Toulouse

Le Gardien du Temple

Crédit photo : Pauline David - compagnie La Machine

Elle fera son apparition lors du 2e opus de l'opéra urbain Le Gardien du Temple en octobre 2024 à Toulouse : portrait de Lilith, la Gardienne des Ténèbres.

Une nouvelle Machine géante

Gardienne des Ténèbres, Lilith aura un rôle clé lors de l'opus 2 de l'opéra urbain Le Gardien du Temple, du 25 au 27 octobre 2024 à Toulouse.

Construite cette année par la compagnie La Machine pour le festival de musiques heavy metal Hellfest à Clisson (où elle réside), Lilith se rendra à Toulouse à l'automne.

Elle rejoindra ainsi Astérion le Minotaure et Ariane la Grande Araignée, les protagonistes du précédent opus de l'opéra urbain Le Gardien du Temple (aujourd'hui pensionnaires de la Halle de la Machine), pour une nouvelle aventure dans le dédale des rues du centre-ville toulousain.

Crédit photo : Pauline David - compagnie La Machine

Identité et caractéristiques physiques

Qui est-elle ?

La Gardienne des Ténèbres est une femme-scorpion qui contrôle le passage entre notre monde et celui des enfers. Missionnée par Hadès, Lilith erre de ville en ville à la recherche d’âmes damnées.

C'est lors de l'une de ses prochaines missions, à Toulouse, que sa route croisera celle d'Astérion et d'Ariane, lors du 2e opus de l'opéra urbain du Gardien du Temple.

À quoi ressemble-t-elle ?

Crédit image : François Delarozière

Apparence générale : tête, buste et bras humains, cornes de bouc, abdomen et queue de scorpion, pattes ressemblant à celles d'un crabe ou d'une araignée

Taille : de 8 à 11 mètres de haut, 14 mètres de long, 3 à 10 mètres de large

Poids : 38 tonnes

Matières : bois, métal, cuir

Énergie : thermique

Vitesse : 1,5 km/h

Que peut-elle faire ?

La Gardienne des Ténèbres possède un exosquelette : tous ses membres sont articulés.

Elle se déplace sur 8 pattes, adoptant une démarche entre le crabe et l’araignée.

Sa tête et son buste pivotent, s’inclinent, oscillent de droite à gauche et de haut en bas. 

Sa bouche et son dard crachent du feu, de l’eau sous différentes formes et de la fumée.

Elle peut mordre. 

Ses yeux, ses paupières, sa langue contribuent à son expressivité. 

Ses mains préhensiles lui permettent de saisir des objets divers. 

Elle peut marcher, courir, se cabrer, se coucher pour venir à la hauteur du public ou se glisser sous du mobilier urbain tel que des ponts, des lignes de tramways.

Les autres personnages de l'opéra urbain

Date de mise à jour :